CLEMENCE

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Cumshots

CLEMENCEClémence, Clem pour tout le monde, c’est comme ça qu’elle se fait appelé. Je crois que la seule fois ou elle s’est présenté Clémence, c’est le jour de son entretien d’embauche. Il y a trois ans, en septembre 2016, elle est devenu ma collaboratrice principale, mon bras droit, une amie, mais surtout une amie très proche d’Elisa, ma chérie.De confidence en confidence, elles se sont rapprochées, mais surtout depuis le décès de son mari, il y a deux ans dans un tragique accident de la circulation. Olivier a laissé ce jour là, Clem, veuve à 35 ans, Hugo et Cloé, orphelins respectivement à 10 et 7 ans. Dans son malheur, Clem à la chance d’habiter dans le petit village de ses parents et qu’ils sont très disponible pour la soulager et gérer les enfants dès que nécessaire. Son quotidien est rapidement devenu monotone, levé, école des enfants, boulot, enfants, footing, douche, repas, dodo et rebelote le lendemain. Plus de sortie, plus de vacances loin de la maison, plus de voyage. Elle s’est refermée sur elle même, sans passion ni projet pour son avenir personnel et familial. Pourtant, au bureau, elle est restée la même teigne, exigeante envers elle et son équipe, sèche et rigoureuse, très professionnelle.Physiquement, un petit bout de femme, un mètre cinquante cinq, cheveux blonds platines naturels, coupés en carré court, les yeux bleus, quarante deux kilos toute mouillée. Un corps musclé, des fesses d’adolescente pré-pubère et des seins quasi inexistant.Ses seules distractions depuis la perte de l’amour de sa vie, les repas avec Elisa et moi, deux à trois fois par mois et un peu plus à la belle saison, pour que ses enfants puissent profiter de notre piscine. Ses enfants ont un peu l’impression d’être en vacances, ils voient leur mère sourire, et même rire parfois. Clem et Elisa papotent des heures entières, plaisantent, jacassent, comme savent le faire les femmes. Elles sont intarissables. Un soir de juin 2019, au bureau, nos collaborateurs venaient tout juste de partir, Clem entre dans mon bureau et s’installe en face de moi. Je lève les yeux de mon ordinateur, la regarde et dit :-« Il y a un problème ? »-« Oui, enfin, par vraiment, mais j’ai une question à te poser »-« Vas y, je t’écoute »-« Et bien, voilà, tu sais que nous parlons beaucoup avec ta chérie. Et, nous les femmes, ont parle de tout. »-« Je m’en doute, et ? »-« Et ? Bennnn, Elisa m’a expliqué le fonctionnement de votre couple, vos libertés, votre honnêteté l’un envers l’autre, votre amour. Tu aurais pu m’en parler, je suis tombée des nues. »-« Clem, tu travailles avec moi depuis 3 ans, tu as perdu Olivier il y a, à peu près, 2 ans, je te savais seule et effondrée, et tu voulais que je te parle de mes histoires de cul ? Non, Clem, ce n’était pas possible. »-« Oui, je comprends, mais tu n’as jamais rien tenté avec moi, pourquoi ? Je me suis dit que je ne te plaisais pas. Et en discutant ce week-end avec Elisa, qu’elle m’a énuméré la liste énorme et non exhaustive de tes conquêtes, dont une bonne partie sont nos clientes, et je me suis dit que j’aurais pu être sur la liste. D’autant que ce ne sont pas toutes des cannons. »-« Alors, pour être clair, je te trouve très attirante, même si tu es l’absolue opposée d’Elisa. Et pourquoi je n’ai rien essayé avec toi ? C’est évident. Tu es ma plus proche collaboratrice, tu es devenue veuve et il m’a semblé que pour toi le sexe est, ou était, la dernière de tes préoccupations. Donc je n’avais aucun intérêt à risquer de te froisser, voire de te perdre. »-« Donc si un jour j’ai envie de passer du bon temps, tu seras là pour moi ? »-« Oui, mais réfléchit bien avant. Une cliente, c’est une cliente, il ne se passe rien avant le fin du chantier, ou très rarement. Avec une collaboratrice, c’est très différent, nous sommes en théorie voués à travailler ensemble encore longtemps, en tout cas, avec toi, je l’espère sincèrement. »-« Moi aussi je l’espère, heureusement que vous avez été là, Elisa et toi, à la mort d’Olivier. Tu m’as fait confiance, donné de responsabilité, le travail et votre amitié m’ont sauvé. »-« Oui, donc pourquoi risquer de tout gâcher ? Pour une partie de jambes en l’air ? »-« Tu as raison »-« D’ailleurs puisque nous en sommes aux confidences, tu en es où ? »-« Sexuellement ? Nulle part, rien, le vide, le néant, je ne sais même pas si je saurais encore faire. » -« Je ne m’inquiète pas pour ça, c’est comme le vélo, ça ne s’oublie pas »-« J’espère »-« Bon, et à part moi, tu as des vues ? »-« Oui »-« Et bien voilà, c’est bien, je connais ? »-« Oui, plutôt bien… » « C’est Elisa »-« Sur ma chérie ? Elle le sait ? »-« Non, je n’ai pas osé »-« Tu veux que je lui en parle ? Je pense qu’elle ne sera pas contre et au moins ça ne mettra pas notre relation professionnelle en péril. »-« Non, je me lancerai peut-être le week-end Escort prochain, je croise les doigts »-« Ne t’inquiète pas, tout ira bien. »-« Ok, on verra bien. Bon, je file, j’ai des enfants à nourrir. »Elle se lève, vient m’embrasser amicalement et quitte le bureau.Le samedi suivant, j’arrive chez moi vers 12H30, d’un rendez vous client. J’entre et ne trouvant personne, je traverse le salon, direction la piscine. Clem est sur un transat, en maillot deux pièces noir, et Elisa sur celui d’à coté, comme souvent, entièrement nue. Elle n’aime pas les marques de maillots, comme elle dit. Je suis en face, de l’autre coté de la piscine, et en faisant le tour pour les embrasser (différemment bien sûr), je dit :-« C’est bien silencieux, ou sont tes enfants ? »-« Chez mes parents pour le week-end, ils leurs avaient promis de les emmener au Zoo de la Barben. Et bien c’est aujourd’hui. »-« Super, il devaient être aux anges »-« Tu parles ils étaient ravis »Je me penche sur Clem, et l’embrasse (amicalement), puis sur Elisa, pose un doux baiser sur ses lèvres en lui caressant délicatement un sein et dit :-« Vous avez pris l’apéro en m’attendant ? »-« Non, on a préféré faire l’amour, et on t’a attendu pour l’apéro. » me dit Elisa.-« Tu ne mets pas plus de forme, tu dis ça comme ça, direct ? » dit Clem-« Tu voulais que je dise ça comment ? au moins c’est fait, c’est clair »-« C’est bon, Clem, ne t’inquiète pas. Chez nous c’est comme ça que ça fonctionne, pas la peine d’expliquer pourquoi, comment, etc… »-« Oui, au moins c’est simple » ajoute Elisa-« Si ça vous a permis de patienter de façon agréable, c’est très bien » puis j’ajoute « Un verre de vin blanc ? comme d’habitude ? »Les deux copines me répondent un « oui » de concert qui les fait éclater de rire. La bonne humeur était de mise et j’en étais heureux. Apéritif, grillades et salades, petite tarte aux fraises et café, les filles retournent à leurs caqueteries et bronzage. Je plonge et pendant une bonne demi heure, fais de longueurs de bassin. Je sorts pour m’allonger sur le transat à coté d’Elisa. Mes yeux se bloquent sur Clem, jusqu’à aujourd’hui très pudique, rarement en maillot de bain, presque toujours assise sur une chaise, habillée à surveiller ses enfants, elle était sur le ventre, le haut de maillot détaché et la culotte entrée entre les fesses comme s’il s’agissait d’un string. Elisa qui m’observe dit :-« Tu as vu, mon cœur, le cul qu’elle a ? Ne me dis pas que tu n’aimerais pas l’enfiler. »-« je n’ai jamais dit ça. J’ai dit que si ça devait arriver, notre situation professionnelle pourrait en pâtir. »-« Je sais mon cœur, tu me l’as souvent dit, mais moi, je trouve que c’est du gaspillage. Mon cœur, regarde moi ce cul ! » puis se lève, att**** la culotte et en la retirant dit à Clem ;-« Enlèves moi ça, tu vas avoir des marques ».Clem, sans un mot, soulève légèrement les hanches pour permettre à ma chérie de retirer le petit bout de textile qui ne cachait pas grand chose. -« Voilà, c’est mieux non ? »Clem ne répond pas, moi j’approuve d’un oui de la tête et m’allonge enfin sur le transat. L’intérieur de mon caleçon de bain est légèrement déformé et c’est avec beaucoup de difficulté que je parviens à le raisonner. Je ferme les yeux, pense à tout ce qui peu me faire oublier ce tout petit cul, puis fini par m’endormir au soleil.Lorsque je me réveille, je suis en pleine érection, heureusement seul, certainement un rêve érotique, peut-être avec Clem, qui sait ? Je me lève et plonge pour me rafraîchir les idées et calmer quelque peu mes ardeurs. Une fois la pression redescendue et stabilisée, je sorts, m’essuie et entre dans la maison.Pas un bruit, je m’avance vers la cuisine avec l’intention de me faire couler un café, et en passant devant le départ du couloir d’accès à l’aile des chambres, un petit bruit me parvient. Un bruit, un gémissement discret, c’est un gémissement étouffé que je distingue maintenant. Je m’avance en silence jusqu’à la porte entrebâillée de notre chambre. Je jette un coup d’oeil discret. J’ai une vue parfaite sur le petit cul de Clem, en soixante neuf sur ma chérie. Le cul ouvert, tendu vers moi et posé à quelques centimètres du visage d’Elisa dont la langue parcourt, promène, visite et investit la chatte poilue de Clem. Une chatte blonde, dorée, tel un bouton d’or fendu en deux par une vulve rouge et luisante et surmonté d’un petit anus brunâtre. Ce tableau est des plus excitant, et ma serviette de bain enroulée autour de ma taille à une légère tendance à se soulever. Elisa a certainement choisi la position où elles se trouvent, pour que la première vue que j’aurai en les découvrant, elle savait que je les découvrirais, soit celle du cul de Clem tendu vers moi. Elle sait que je ne résiste pas à un cul offert. Mais je devais rester fort, spectateur, Escort Bayan voyeur, mais en aucun cas acteur.Le spectacle est magnifique, deux superbes femmes faisant l’amour, deux femmes que physiquement tout oppose, mais deux superbes femmes tout de même. Elisa est aussi brune que Clem est blonde, une poitrine à l’opposée l’une de l’autre sans parler de la taille ou plus de vingt cinq centimètres les sépare. Pourtant malgré leurs différences elles sont toutes les deux très belles. Je suis admiratif de voir l’application d’Elisa à lécher la chatte et le cul blond de Clem. Elle y met du cœur, et à entendre les doux gémissements que les deux filles émettent, j’en déduis facilement que Clem est tout aussi appliquée, même si je ne la vois pas manœuvrer. Le spectacle, comme vous pouvez l’imaginer ne me laisse pas de marbre, même si la rigidité et la dureté de ma queue pourraient le laisser penser. Je bande comme un âne, voir ce cul offert, léché par ma chérie, me rend dingue, et même si mon envie la plus profonde est de m’approcher et de l’embrocher, je me contente d’une lente masturbation. Je suis dans l’encadrement de la porte, à trois mètres d’un duo, qui n’attend qu’une chose, devenir trio. Au fur et à mesure de ma masturbation, et sans m’en rendre compte, je m’approche du lit. Elisa martyrise le clitoris de Clem en le serrant entre ses lèvres, tout en faisant coulisser deux de ces doigts dans le vagin. Je suis maintenant si proche qu’il me suffit d’un pas et tendre le bras pour caresser la petit cul blanc. Elisa m’aperçoit, libère le bourgeon et me sourit tout en s’activant dans vagin de clem. Ma chérie penche la tête sur le bord du lit et ouvre sa bouche pour que je vienne m’y glisser. La proposition est trop belle pour la refuser. Je pose mon gland entre ses lèvres, le contact de sa langue chaude me foudroie. Quel bonheur ! Je m’enfonce doucement dans cette bouche qui connaît chaque millimètre de mon sexe, et pourtant, c’est toujours le même plaisir. La main disponible d’Elisa caresse le dessus de mon membre resté à l’extérieur et appuis délicatement pour m’encourager à la pénétrer un peu plus. Clem concentré sur sa tâche, ne s’est toujours pas rendu compte de ma présence. Je vois sa tête monter et descendre entre les cuisses de ma chérie, tandis que son cul vient à la rencontre des trois doigts d’Elisa qui se faufilent entre ses lèvres. Après une ou deux minutes, Elisa se saisit de ma queue d’une main ferme, et sans altérer mes petits mouvements de reins qui me permettais de coulisser dans sa bouche, retire ses doigts englués de mouille et simultanément pose mon gland dans l’entrée du vagin buissonneux. Mon coup de reins enfonce ma verge sur une dizaine de centimètres dans le vagin gluant de Clem qui lève la tête et s’écrit :-« Non Elisa, les doigts, mais pas le bras… Tu vas me déchirer » ajoute t-elle.-« Tu la voulais ? et bien la voilà » dit Elisa.-« Quoi ? » dit Clem en regardant par dessus son épaule.-« Désolé, je ne voulais pas te faire mal » dis-je Elle me sourit puis ajoute :-« Je n’y croyais plus. Par contre vas-y doucement, je n’avais pas imaginé que tu étais monté aussi large »Je lui rends son sourire, en posant mes mains sur ses hanches et en poussant lentement, mais régulièrement pour m’enfoncer en elle jusqu’à la garde. Elle pousse un long gémissement jusqu’à ce que je m’immobilise bien calé au fond de son vagin et elle dit :-« Putain, mais il n’y avait pas que ça, j’ai l’impression que tu vas me traverser, que je suis prise par un cheval »-« N’exagère pas, tu as tout avalé. Et, je n’ai pas l’impression que ça t’ait fait souffrir. »-« C’est vrai, mais la sensation est particulière, Je crois que la dernière fois que ma chatte a été aussi distendu, c’est quand j’ai accouché. »Sans attendre la fin de ses dérives verbales, j’entame un doux et lent va et vient. La langue d’Elisa flatte merveilleusement mes couilles et lèche tout la longueur de ma tige à chacun de mes passages. Tous les deux ou trois aller-retour, je m’immobilise, le gland écrasé contre le fond de paroi vaginale de Clem, pour recevoir les caresses d’Elisa. Sa langue virevolte, tournoie sur et autour de chacun de mes testicules, s’engouffre entre mes fesses et titille mon anus. C’est un pur délice. Clem, qui s’en rien dire, semble s’impatienter, commence à entreprendre des petits mouvements pour se baiser seule, en coulissant sur ma queue de plus en plus tendue et gonflée. Elisa profite de mon moment de passivité pour sucer, aspirer et gober mes couilles. Elles sont prisonnières de sa bouche et sa langue joue avec comme s’il s’agissait de véritables bonbons. Clem pousse sur ses bras pour venir s’empaler de plus en plus vigoureusement sur mon membre immobile, ses fesses percutent bon bassin bloqué par mes couilles toujours Bayan Escort prisonnière. Les gémissements de Clem se font de plus en plus entendre, elle en abandonne le sexe d’Elisa et se consacre à son orgasme qui approche. Mes mains agrippées à ses hanches l’accompagnent dans cette quête du plaisir. Mes couilles bouillonnent dans la bouche de ma chérie, ma sève monte dans ma tige. Clem explose et hurle au moment ou mon sperme lui tapisse le fond du vagin. Ma jouissance est aussi puissante que soudaine, incapable de la retenir, je crache une grosse quantité de sperme dans cet étroit conduit dans un râle a****l. Clem continu ses va et vient, pour me traire totalement, mais de façon totalement désordonné, les spasmes qui la traversent lui font perdre tout contrôle. Elisa libère mes bourses et recommence à lécher le sexe de Clem et ma tige qui, à chaque retour, sort recouvert d’un cocktail de cyprine et de sperme. Encore quelques mouvements, puis Clem nous désaccouple. Elisa se jette sur ma queue libérée et entreprend un nettoyage méticuleux. Clem tente de se relever, dans sa manœuvre, son sexe béant se vide sur le cou et les seins d’Elisa. Elle s’empresse de venir lécher, embrasser, sucer, les seins, les lèvres et mon gland. Avec un tel traitement, ma verge repasse d’une perte de vigueur à une totale érection. Les deux jeunes femmes s’activent à lécher ma queue à nouveau tendu pour elles. Je reprends ma liberté et sans un mot, mais avec des gestes autoritaires, je fais allonger Clem sur le dos, la tête au bord du lit, fais positionner Elisa sur elle, en soixante neuf, le cul tendu vers moi. Elisa plonge immédiatement vers se sexe de Clem pour se régaler du cocktail qu’elle libère toujours. Clem et moi léchons, qui la chatte, qui le cul, Elisa dans une partition à deux langues. Nos bouches se rencontrent, nos langues se mêlent puis retournent aux orifices luisants de ma chérie. Je me relève, maintenant d’une main mon sexe. De l’autre j’appuis sur le front de Clem, l’obligeant à quitter la vulve d’Elisa, je lui glisse mon gland dans la bouche ouverte. Je tente de forcer un peu le passage, mais en vain, sa bouche est incapable de m’absorber. Je me retire et m’introduit en un seul mouvement dan le vagin d’Elisa, jusqu’à la garde. Elle relève la tête pour gémir puissamment, puis retourne à ses occupations. A peine introduit, je me retire totalement et pénètre son anus presque aussi facilement et tout aussi directement. Elisa hurle de bonheur, la sodomie est son pécher mignon, son plaisir suprême. Ma queue bien lubrifiée par la cyprine abondante qu’elle fabrique coulisse facilement dans son rectum dont je connais chaque centimètre carré. Mes mouvements sont amples, rapides et puissants. Clem s’occupe de la vulve d’Elisa et de mes bourses qui se balancent au dessus de son visage. Ma chérie pleure de bonheur, le plaisir est à son comble, et après quelques minutes de mes violents assauts, son fondement est inondé de ma semence brulante. Elle sent son intestin se remplir de ma lave blanche et épaisse. S’en est trop, son corps tremble, s’agite, devient incontrôlable. Elle lève la tête et hurle son plaisir. Sa vulve expulse elle aussi, plusieurs puissants jets de cyprine arrosent copieusement mes couilles et mes cuisses, mais surtout inondent le visage et la bouche de Clem qui de surprise s’en étouffe. Je me retire violement, laissant l’anus béant de ma belle, se vider lentement de mon sperme. Elle s’affale sur le lit, terrassée par la puissance de son orgasme. Clem se libère tant bien que mal du poids mort allongé sur elle, se lève et vient se lover dans les bras, debout la tête contre ma poitrine. Nous regardons Elisa sur le lit, dont le corps est encore traversé de petits tremblements, qui tente de reprendre la maitrise de ses gestes et de ses esprits. Clem me dit :-« Vous êtes vraiment fait l’un pour l’autre, vous êtes extraordinaires »-« N’exagères pas, on aime se donner du plaisir, voilà tout »-« Je n’exagère pas du tout, je n’avais encore jamais vu quelqu’un jouir aussi fort » puis ajoute en souriant « j’ai vraiment pensé que j’allais mourir noyée. »-« Elle ne t’avais pas dit qu’elle était fontaine ? »-« Non, mais elle n’est pas fontaine mais source » Elisa se relève et vient, encore un peu chancelante, se blottir contre nous et dit :-« Comme toujours, ça a été merveilleux. Je ne m’en lasserai jamais » -« Tu m’étonnes, ce n’est pas donné à tout le monde de jouir comme ça » lui répond Clem.-« C’est comme ça depuis notre première rencontre » lui dit elle, puis en me regardant, ajoute « Je t’aime mon cœur »-« Moi aussi ma chérie » lui dis-je juste avant de l’embrasser langoureusement.Après cet intermède crapuleux de l’après midi, nous avons passé la soirée ensemble, puis la nuit. Une nuit peu réparatrice, où nous avons fait l’amour par paire et en trio. Une nuit faite de jouissances et de plaisirs partagés. Le Dimanche fut plus calme, plus reposant, puis Clem est rentrée chez elle retrouver sa petite famille en attendant de nous retrouver lundi matin au bureau.

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